Ca y est, on l’a notre raison d’être !!! Un beau travail collectif de synthèse, autour de formulations plus peronnelles mais dans lesquelles au final on se retrouve tous.
Difficile de tout dire, sans trop en dire, et en évitant les mots vidés de leur sens, trop galvaudés, mais qu’on a quand même du mal à lâcher parce que, quand même, c’est ce sont de très très jolis mots : « intergénérationnel, respect, tolérance, bienveillance, harmonie, ouverture sur le territoire, bien être, bonheur »
On a tenté de mettre l’accent sur ce qui fait peut-être notre particularité… Quel projet de collectif rechercherait la malveillance, l’intolérance, la souffrance et le malheur ?
Nous avons retenu le terme de « éco-lieu » pour qualifier ce lieu de vie que nous n’imaginons pas sans arbres et sans nature, un lieu beau et préservé, et dont nous voulons prendre soin. Un eco-lieu, c’est aussi sur internet « un lieu de vie qui place l’environnement, le bien-être humain et le respect animal au cœur des préoccupations. Au-delà d’être un lieu engagé, il s’agit d’un véritable mode de vie adopté par des citoyens qui habitent et travaillent ensemble« .
La super nouvelle c’est que la mayonnaise commence à prendre dans notre groupe. Nous avons accueilli de nouvelles personnes, revu les anciens, mais aussi de plus récents. Une ambiance intergénérationnelle (un peu…) où règne le respect, la tolérance, la bienveillance, l’harmonie, c’est ça le bonheur.
Nous avons aussi abordé, dans la bonne humeur, le grave sujet du vieillissement et du handicap. Bien évidemment tout le monde veut que notre éco-lieu permettre à une personne en fauteuil roulant d’y vivre .
Mais si l’un d’entre nous perd son autonomie, et se sent devenir un boulet pour les autres… Aura t-il le courage de partir? Un éco-lieu ne doit-il pas justement être solidaire ? Ne faudrait-il pas limiter l’âge des prochains postulants pour ne pas trop fragiliser le groupe ? … Un peu prématuré peut-être, car pour l’instant notre groupe souche ne compte que 5 personnes ; et d’ailleurs comme disait l’autre « le temps ne fait rien à l’affaire« . On garde le sujet au chaud.